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Je ne suis pas là pour enjoliver le monde. Je suis là pour le regarder en face. Pour capter ce qui se passe, ce qui vibre, ce qui compte.
Un regard, une signature
Je m'appelle Angel, et je suis photographe indépendante. Mon appareil ne cherche ni le lisse, ni le parfait. Il cherche le vrai.
Je suis discrète, souvent silencieuse, mais je vois tout. J’entre dans les lieux comme une observatrice respectueuse. Je ne mets pas en scène, je ne fais pas poser. Je documente. Mon approche est instinctive, sensible, avec un style photographique qui semble raconter le présent avec un souffle d’héritage.
Pourquoi le reportage photo d’action ?
Ce que j’aime, ce sont les métiers qu’on oublie de valoriser, les gestes répétitifs qui racontent une vie entière, les regards concentrés, les mains abîmées, les environnements bruts. J’aime les événements où l’humain prend toute la place, les instants de tension, de joie ou de concentration. Là où il y a du vécu, je déclenche.
Pourquoi pas de studio photo ?
Ma photo, c’est un hommage : à ce que vous êtes, à ce que vous faites. Ce n’est pas juste une image, c’est une trace. Une empreinte.
Je travaille principalement avec des artisans, des institutions, des associations, des organisateurs d’événements, et toutes celles et ceux qui veulent montrer ce qu’ils sont, sans artifice.
Si vous cherchez une photographe qui voit ce que les autres ne remarquent pas, qui met en valeur sans travestir, alors on est peut-être faits pour se rencontrer.
Charte photographique – L’œil nomade
Témoigner. Transmettre. Respecter.
1. Ma posture : photographe-témoin, jamais intrusif
Je me place en observatrice discrète. Je ne mets pas en scène. Je capte le vrai, le geste, l’instant. Je suis là pour témoigner, pas pour détourner. Ma présence est respectueuse, silencieuse, à hauteur d’humain.
2. Ce que je photographie : les métiers d’action, les milieux engagés, les gestes sincères
Je photographie ce qui est vivant, utile, profondément humain. Les artisans, les institutions, les métiers d’engagement, les événements porteurs de sens. Je rejette les environnements artificiels, aseptisés ou dominants. Je cherche ce qui a du cœur, pas du vernis.
3. Mon regard : instinctif, sincère, jamais neutre
Je déclenche au ressenti. Une lumière, un échange, un détail. Je ne cherche pas à être objective, je cherche à être vraie. Mon regard est engagé, mais jamais juge. Je documente avec sensibilité, sans mise en scène, avec un souci d’héritage et de mémoire.
4. Mon esthétique : un souffle de passé ancré dans le présent
Sans jamais singer l’ancien, mon style porte une empreinte intemporelle. Je tends vers une colorimétrie contrastée, aux accents vintage. C’est une façon d’honorer ce qui fut, tout en restant fidèle à ce qui est.
5. Mon engagement : créer des images utiles, durables et honnêtes
Je crois que la photographie peut renforcer la mémoire collective, rendre visible ce qui est souvent oublié, et rappeler la valeur des gens et de leurs actes. Une photo qui touche est une photo qui reste. Mon travail ne sert pas à produire du contenu, mais à faire exister.
6. Mes limites : je choisis ce que je couvre, je respecte ce que je photographie
Je ne couvre pas tout. Je ne photographie pas pour faire plaisir ou remplir un quota. Je photographie ce qui résonne avec mes valeurs : confiance, solidarité, persévérance, courage. Je refuse les environnements qui exploitent ou écrasent. Je refuse de mentir par l’image.